Les bons conseils de papy Leeroy !

Alors ce méchant, en fait, cette colonie de méchants, ce sont à la base des personnes comme les autres qui ont été persécutées jusque dans les égouts, et vouent maintenant une haine viscérale envers les gens, décide parfois d'envoyer quelqu'un à l'action à la surface pour tuer quelques personnes et semer la terreur.

Ils ressemblent vraiment à des rats, mais ils sont plus nuls que Shredder dans les tortues Ninja, c'est dire ! Ils savent à peine manipuler leur lance... Cependant, ils restent dangereux pour les aventuriers débutants ou maladroits, donc faites attention !

Ne vous laissez pas affaiblir par ce regard vicieux et cet air méchant, un bon coup dans les valseuses, et il repartira la queue entre les jambes ! Contre de l'armure légère, vous avez juste besoin d'une massue pour faire une purée de bijoux de famille...

Et si jamais vous n'êtes pas assez fort pour l'écraser ? Alors à ce moment là, je vais vous dire que vous devez faire très attention à leur agilité. Ces Hommes-Rats sont de vraies plaies qui vous glissent entre les doigts très facilement, et ils ne sont pas plus bêtes que vous... Faut donc être très prudents avec ces saletés, sinon elles auront vite fait de vous assassiner.

D'ailleurs, ça me fait penser à une autre histoire, mais je vous la garde pour une autre fois, les enfants...

J'étais en train de cueillir des champignons pour préparer ma petite soupe dont j'ai le secret, quand d'un coup, un Atréen s'est mis à me hurler dessus dans une langue que je ne comprenais pas. Voyant que la discussion ne passerait pas, j'ai pris mon Courage à deux mains, c'est le nom de mon marteau, et je lui ait envoyé sa tête voler loin de son corps.

Apparemment, j'avais foutu le chef en rogne, sûrement car j'étais meilleur que lui en baseball, et il s'est donc mis à hurler lui aussi... Dans la langue de la magie. C'était chiant, et pis j'avais pas que ça à faire de l'écouter... Bon, je redeviens sérieux un moment, car il en va de votre survie :

Il était légèrement plus grand que moi, avec un visage fait de bois - ce n'était pas un masque, je vous le jure ! - Et des yeux qu'on aurait dit de la même matière, ne brillant même pas. Il avait même des bois qui lui poussait sur la tête, c'était trop bizarre... Il était roux, ça fait encore plus flipper ! Hrum, pardon.

Il avait les bras tatoués, comme on aurait gravé à la surface d'un arbre, et, à la place des mains, de longues griffes de bois, tranchantes comme pas possible... Il était monté sur une grande pierre, et me regardait.

Comme si il ne voulait pas que s'approche, il hurlait, et un mur de ronce poussait devant moi... Attendez, vous ne comprenez pas la puissance qu'il avait :

J'ai vu, vous dis-je, une figure de puissance pousser un hurlement qui à déchiré un arbre en deux et à fait pousser un mur de ronce devant moi ! Il maîtrisait les éléments de la nature, je me demande ce qu'il pourrait avoir de pire....

Bon, puisque j'avais tous les champignons nécessaires pour ma soupe, je suis parti sans lui chercher des noises... J'avais trop faim pour me battre.

Un jour, alors que je tuais de l'Atréen pour dégager un chemin pour une caravane marchande qui allait à la grande ville d'à côté, une énorme figure se distinguait dans l'horizon, elle faisait bien une vingtaine de mètres de haut, et semblait inanimée, repliée sur elle-même.

Nous n'avions pas dans la tête de la déranger, nous doutant bien de la puissance d'une telle chose, mais le chef Atréen, donc je vous ai parlé plus tôt, n'était pas de cet avis. Il se plaçait devant lui, et se mettait à hurler des paroles dans une langue bizarre.

Ce qui ressemblait à une statue de bois s'animait d'un coup d'une magie, une sorte de liquide vert coulant au travers des trous et autres, et il poussa un énorme hurlement, à faire trembler les arbres même, et nous faisant un mal de crâne... Aussi fort que quand Mamie Leeroy hurle !

Il commençait à bouger, chacun de ses pas faisant trembler la terre, et nous essayions de nous dépêcher pour le semer, car il semblait nous avoir pris pour cible... C'est qu'il allait même pas nous lâcher, le bougre, il nous voulait vraiment et personne d'autre !

Dans mon héroïsme légendaire, je restais derrière pour défendre le convoi, et le combat fut épique... Enfin, il l'aurait été s'il avait pas triché. Alors que je lui fonçais dessus, il à fait pousser une racine devant moi, et j'ai trébuché dessus...